CONTEXTE
Selon l’Autorité de régulation des communications (Baromètre du numérique « équipement et usages » 2021, ARCEP), l’acquisition du premier téléphone portable est de plus en plus précoce : 41% des filles contre 30% des garçons de moins de 25 ans ont eu leur premier téléphone mobile avant 12 ans.
Ces chiffres reflètent la place de plus en plus importante qu’occupent les écrans dans nos vies et plus particulièrement dans celles des jeunes.
Sur un sujet pour lequel on manque encore de recul, la Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues Et les Conduites Addictives (MILDECA), affirme que le bon sens et le principe de précaution restent de mises.
À tout âge, des risques peuvent être associés aux usages numériques excessifs : 5% des garçons et 15% des filles âgés de 15 ans ont un usage problématique des réseaux sociaux (Source : Résultats de l’enquête internationale Health behaviour in school-aged children (HBSC) et EnCLASS France, OFDT, 2018).
Pour les enfants et les adolescents, le temps passé devant un écran peut empiéter sur des apprentissages essentiels à leur développement physique, psychique et social.
Un usage excessif peut avoir des conséquences sur le développement du cerveau des jeunes, leur apprentissage des compétences fondamentales, leur capacité d’attention mais aussi leurs relations sociales.
Afin de protéger les jeunes et leur bien-être, l’entourage doit être présent et s’assurer du bon usage des écrans. La limitation du temps d’écrans, la promotion d’un bon usage des écrans et de la parentalité numérique sont devenues des objectifs partagés par plusieurs politiques publiques – éducation et réussite scolaire, santé et soutien aux familles.
OBJECTIFS
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